Ce terminal 2.0 nouveau-né dans le cycle de vie du digital a bouleversé nos vies. Mais pas seulement. Toute l’industrie du digital, du M-commerce a vu ses codes changer. Comment s’adapter ? Quelle stratégie digitale adopter ?
Après le E-commerce, le M-commerce
Petite piqure de rappel : nous appelons E-commerce toute transaction commerciale effectuée à distance, c’est-à-dire à partir d’un terminal électronique. L’époque du Minitel révolue, l’ordinateur, qu’il soit fixe ou mobile a fait son temps. Aujourd’hui, il doit laisser sa place. Le M-Commerce est alors le même concept, sauf que la transaction s’effectue depuis un terminal mobile : tablette, smartphone,… Place à l’intensité des échanges.
Les chiffres
- Sur 100 achats sur Internet, 88% se font à partir d’un PC, 6% d’une tablette et 6% d’un mobile. Le M-commerce progresse et atteint 12% à lui seul.
- 55% des Français possèdent un Smartphone, et nous avons constaté une augmentation de 43% par rapport à 2014. Imaginez alors le potentiel. Le point noir dans cette affaire est que mobile est aujourd’hui encore trop considéré comme un outil pour communiquer et non pour réaliser des transactions commerciales. Avec les forfaits internet de moins en moins chers, cette tendance va se démocratiser.Nous sommes en retard par rapport à nos voisins Européens. En 2015, 16% des d’achats furent réalisés par le M-commerce. Les Allemands sont à 32% et les Britanniques 39%…La France conservatrice ? Mais non, voyons.
Les points noirs de cette stratégie digitale
Créer un terminal d’achat ou un site internet pour Smartphone ne se fait pas comme ça. Il faut optimiser l’interface pour que l’écran puisse diffuser l’information le plus clairement possible. La procédure de paiement doit être parfaite pour gommer toutes les réticentes qu’il peut y avoir. Il vous faudra peut-être alors passer par un prestataire externe pour se charger de cette optimisation de navigation. C’est un investissement durable et utile !